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Pronostics Tour de France : quels critères pour vos pronos ?

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Le Tour de France est la compétition cycliste la plus regardée à travers le monde. Il est diffusé dans plus de 190 pays. Ce qui en fait une compétition ou les pronostics sont nombreux. Grâce à cet article vous aurez toutes les clefs en main pour pronostiquer le vainqueur de la course.

Pronostics Tour de France : les critères à prendre en compte

1. Analyser les derniers résultats des coureurs

Voilà la meilleure façon de connaître l’état de forme des coureurs. Regardez leurs résultats au cours de l’année, un coureur ayant remporté plusieurs courses au cours de l’année arrive logiquement en tant que favori au départ du Tour. En général la dernière course courue par les favoris de la grande boucle est le Critérium du Dauphiné, qui se déroule 3 semaines avant le départ du Tour. Il reprend souvent une ou deux étapes du futur Tour.

Certains favoris préfèrent de leur côté courir le Tour de Suisse qui est une bonne alternative car il se déroule aux mêmes dates. Cependant cette année il faudra faire attention car aucun des deux grands favoris n’ira sur l’une de ces deux courses. Primoz Roglic a décidé de ne plus faire de course jusqu’au départ du Tour, Tadej Pogacar ira, de son côté, faire son tour national, le Tour de Slovénie.

2. Analyser les différentes déclarations des coureurs avant le départ

Les coureurs ont souvent leur objectif qui est défini avant le début du Tour. Même si certains bluffent, il faut prendre en compte ce qu’ils diront. Est-ce que le coureur vise le classement général? Est-ce qu’il vise les victoires d’étapes? En fonction de ça, vous pourrez avoir une idée de la façon dont chaque coureur va courir.

3. S’intéresser au programme de course des coureurs

Les coureurs ayant le plus de chance de remporter le Tour de France sont les coureurs qui axent leur saison autour de cette course. En général, le gagnant du Tour n’a pas participé au Giro car il n’a pas assez de temps pour récupérer entre les 2 courses. Le dernier coureur ayant réussi à remporter le Giro et le Tour la même année est le regretté Marco Pantani en 1998. Depuis, de nombreux coureurs ont tenté de reproduire cet exploit mais ils ont tous échoué.

4. Analyser les équipes de chaque favori

Il faut être fort pour remporter le Tour mais il faut aussi avoir une équipe très forte pour permettre au leader d’être bien accompagné. Ces équipiers sont utiles pour aider le leader s’il chute, ou bien s’ il a une journée de moins bien. Les équipes les plus fortes cette année seront surement l’équipe Jumbo-Visma de Primoz Roglic et l’équipe Ineos de Geraint Thomas. N’oublions pas la dernière utilité des coéquipiers, prendre la place de leur leader s’il abandonne, ou bien qu’il n’est pas assez fort pour remporter la course.

5. L’état physique et mental des coureurs

C’est assez simple comme conseil mais c’est l’un des plus importants, l’état physique et mental des sportifs de haut niveau ne tient souvent qu’à un fil et les burn-out peuvent survenir n’importe quand. Par exemple, le sprinter Allemand Marcel Kittel a mis fin à sa carrière à seulement 31 ans alors qu’il était l’un des tout meilleurs sprinteurs du monde. Il faut donc voir si un coureur a récemment chuté ou s’ il a eu une période de doute avant le départ pour choisir son favori.

6. Est-ce-que le coureur a déjà participé à cette course ?

La connaissance d’une course par un coureur est extrêmement importante. Il est assez rare de voir un coureur gagner un Tour de France à sa première participation. L’année dernière ce fut le cas avec la victoire de Tadej Pogacar mais cela reste tout de même une exception.

7. Le coureur a-t-il déjà eu des résultats sur cette course

Un coureur ayant déjà participé à une course engrange de l’expérience sur cette même course, mais il faut aussi voir si le coureur a déjà eu des résultats sur cette compétition. Encore une fois, il est assez rare qu’un coureur remporte le Tour s’il n’a pas déjà, au cours des années précédentes, fait un top 10.

8. L’âge du coureur

Avec les années qui passent, la récupération entre les étapes est de moins en moins bonne. A partir d’un certain âge il devient plus dur de remporter une course de 3 semaines. Un coureur de 40 ans qui remporte une course de 1 semaine ne sera donc pas forcément favori au départ de la grande boucle. Le coureur le plus vieux ayant remporté le Tour de France est Firmin Lambot en 1922, il avait 36 ans. Le coureur le plus jeune à avoir ramené le maillot jaune est Tadej Pogacar en 2020 il avait alors 21 ans.

9. La popularité du coureur

Il est vrai que ce facteur n’est pas celui qui influence le plus la course. Mais il n’est pas rare de voir les coureurs les moins populaires se faire gêner par les spectateurs que ce soit avec des insultes ou autre (de l’urine par exemple). Eddy Merckx a perdu le Tour 1975 à la suite de blessure entraîné par des coups reçus par des supporters français qui ne voulaient pas que le Belge dépasse le record de victoires de Jacques Anquetil. Merckx a perdu le Tour cette année-là en partie à cause de cet événement. Il ne gagna plus jamais le Tour de France après ça.

10. Vérifier le profil des étapes

C’est l’une des premières choses à faire, vérifier si le parcours convient à un grimpeur ou à un rouleur-grimpeur. Pour cela il faut regarder le nombre de kilomètres des contre-la-montre proposés par les organisateurs. Cette année il y en a plus de 50km. Le Français David Gaudu risque, par exemple, de perdre plus de 3 minutes sur des coureurs comme Tadej Pogacar et Primoz Roglic sur ces 50 km. Car le Breton est un pur grimpeur et les deux Slovènes sont des rouleurs-grimpeurs.

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11. La confiance du coureur

Un coureur ayant remporté plusieurs courses au cours de l’année arrivera plein de confiance au départ de son objectif qui est le Tour de France. S’il a battu plusieurs fois ses principaux adversaires pendant les courses de préparation, il aura un avantage psychologique sur eux.

12. Le coureur est-il seul leader dans son équipe ?

C’est une variable importante car avoir plusieurs leaders dans son équipe peut être une force et une faiblesse. Une force car en cas de défaillance d’un des leaders de l’équipe peut se mobiliser instantanément sur un autre coureur, cela peut aussi offrir différentes options tactiques. Mais aussi une faiblesse car une guerre d’égaux peut éclater au sein de l’équipe entre les différents coureurs et cela peut avoir un effet destructeur sur la cohésion d’équipe, et sur le résultat final de la course.

13. Le Tour est-il le seul objectif du coureur ?

Une saison cycliste dure de janvier à octobre, mais il n’est pas possible pour un coureur d’être en forme tout au long de ces 9 mois. Chaque coureur prépare donc un calendrier avec 2 ou 3 objectifs en général. Il est compliqué d’être en forme sur deux objectifs très proches l’un de l’autre. C’est pour cela qu’un coureur ayant pour objectif le Tour d’Italie est rarement en forme pour le Tour de France environ un mois après. Il faut donc bien analyser le calendrier des objectifs de chaque coureur avant de placer ses pronostics sur le Tour de France.

14. Le coureur a-t-il reconnu les étapes importantes ?

Souvent les favoris viennent un mois ou deux avant le début de l’épreuve pour faire des reconnaissances des étapes les plus importantes. Les étapes de montagne et les contre-la-montre en général. Cela leur donne un avantage certain car ils sauront quelles sont les meilleures trajectoires, quels endroits sont dangereux, à quel endroit le revêtement de la route est bon, ou mauvais. Ils pourront ensuite se servir de ces éléments à leur avantage.

15. Le coureur a-t-il déjà subi des déconvenues sur le Tour ?

C’est un élément en rapport avec le mental des coureurs. Psychologiquement un coureur ayant plusieurs fois frôlé la victoire sur le Tour, ou ayant plusieurs fois abandonné peut arriver avec la boule au ventre au départ de la course. Il faudra, par exemple, voir si Primoz Roglic s’est entièrement remis de sa défaite lors de l’avant dernière étape du Tour 2020, ou s’ il en garde des souvenirs ce qui pourrait influencer sa façon de courir.

16. La météo

Un élément compliqué à prévoir en avance mais des plus importants. Les coureurs rouleront-ils sous une forte canicule ? Ou bien subiront-ils des orages ? Ces paramètres sont extrêmement importants car certains coureurs sont à l’aise sous la pluie, tandis que d’autres apprécient les fortes températures, enfin certains sont à l’aise par tous les temps, ce qui est un avantage lorsque l’on pratique un sport d’extérieur.

17. L’expérience de l’équipe

Les équipes sont plus ou moins jeunes, tout comme leur staff. Une équipe ayant plusieurs années d’expérience ”sentira” mieux la course qu’une équipe et un staff jeune. De plus, avoir un coureur âgé avec plusieurs années d’expérience est un avantage. Il peut donner des conseils aux jeunes coureurs. Et leur permettre de rester calme lors des situations tendus.

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